Des ancêtres juifs dans la Provence du XVe siècle – Contexte historique

Voilà bien un sujet, si l’on m’en avait parlé il y a quelques temps, que je n’aurais pas cru aborder un jour. Cependant la généalogie est pleine de surprises ! Me voici donc descendant de juifs, identifiés, dans la Provence de la fin du Moyen-Âge. Je me savais descendant de protestants et bien sûr de catholiques, mais j’ai là une bonne surprise car cette « nouvelle » diversité permet d’élargir l’horizon des recherches et de travailler d’autres sujets tout en faisant ma propre généalogie.

Cette série d’articles a pour but de présenter ces ancêtres en particulier et en général d’aborder la vie des juifs dans la Provence d’alors, grâce à diverses lectures sur lesquelles je reviendrai et que je vais essayer, modestement, de restituer et d’adapter à ces ancêtres.

Pour ce premier article, je vais aborder avec vous le contexte historique global en le reliant à ces ancêtres dont certains vivaient à Aix-en-Provence ou Marseille dès les premières décennies du XIVe siècle. Comme d’habitude, je précise qu’il ne s’agit pas d’une étude universitaire, mais d’une présentation synthétique et qu’elle aura très certainement ses défauts ; si vous souhaitez apporter des précisions, n’hésitez pas à le faire en commentaire.

Une présence ancienne

Par des découvertes archéologiques successives, les historiens ont pu confirmer une présence ancienne des juifs en Provence, en particulier grâce à la découverte d’une lampe à huile dans la commune d’Orgon qui est datée du 1er siècle de notre ère. Ces communautés continuèrent de prospérer et/ou décliner dans les siècles qui suivirent et sont toujours bien présentes en Provence lorsqu’un événement majeur se déroule dans le royaume de France voisin, au début du XIVe siècle.

La lampe à huile d’Orgon (1er siècle) (source de l’image)

En 1306, Philippe Le Bel décida de se débarrasser des juifs par un édit d’expulsion. Soit les juifs se convertissaient, soit ils quittaient le royaume de France. Cela faisait écho à l’édit de même nature promulgué en Angleterre en 1290.

Malgré des rappels et de nouvelles expulsions postérieures, les juifs qui étaient revenus durent partir définitivement en 1394.

Le Languedoc, voisin de la Provence, abritait des communautés importantes, une académie rabbinique et des savants de premier plan, traducteurs de textes hébreux ou arabes, médecins et philosophes. Ceux-ci quittèrent la France malgré eux et trouvèrent refuge pour certains dans la péninsule ibérique et pour d’autres en Provence, voire jusque dans l’Italie actuelle.

Avant 1481, la Provence n’était pas française. Elle faisait partie du royaume de Naples (qui a une histoire complexe de son côté que je n’évoquerai pas ici). La dynastie du royaume de Naples, les Angevins, régna jusqu’à la mort de Charles III qui légua la Provence à son cousin le roi de France. Avant cette date, donc, par son indépendance vis-à-vis de la France, la Provence n’était pas concernée par les édits d’expulsion.

Carte du Comté de Provence avec les départements actuels (source)

C’est ainsi qu’après 1306 et 1394, des juifs du Languedoc s’y réfugièrent. On en reconnaît certains par leur « patronyme » toponymique (signifiant l’endroit d’où ils viennent) : les Lunel, les Carcassonne, les Posquières, les De Lattes, etc. Je mets le terme patronyme entre guillemets car les noms juifs à cette époque, en Provence, sont bien plus complexes à saisir et peuvent changer de génération en génération.

Les Carcassonne, par exemple, figurent en bonne place parmi mes ancêtres. Descendant du couple de néophytes (juifs convertis au christianisme) Elzéar Louis et Louise Louis, anciennement Salomon de La Garde et Doucette de Carcassonne, je descends donc de cette famille par cette dernière.

L’installation en Provence au XIVe siècle permit aux Juifs du Languedoc de vivre, jusqu’à la fin du XVe siècle, une période de relative stabilité en compagnie de leurs coreligionnaires provençaux. Relative car marquée par quelques événements graves.

Les massacres suite à la Peste

En 1348, la Peste noire ravagea la Provence (ainsi que le reste de l’Europe qui perdit entre 30 et 50% de sa population). Et les juifs furent blâmés. Déjà atteints par la peste, ils durent en plus subir les attaques de chrétiens.

En avril 1348, presque tous les juifs de Toulon furent massacrés, lançant un « mouvement » qui atteignit une grande partie de la Provence, notamment dans l’actuel département des Alpes-de-Haute-Provence. Le cas de La Baume fut extrême puisque, hormis un des membres de la communauté absent au moment des faits, tous les juifs furent tués.

Les survivants des massacres quittèrent pour la plupart leur communauté et rejoignirent les villes où ils seraient plus nombreux et donc davantage en sécurité. Ce fut un exode rural pour survivre.

Se regrouper pour (sur)vivre

Les juifs se regroupèrent alors dans deux types de lieux :

  • Les villes importantes : Aix, Marseille, Arles
  • Les castra (on pourrait dire de petites villes ou de gros bourgs) : Pertuis, Saint-Maximin, Salon, Digne, Grasse, Draguignan ou encore Fréjus.

Dans ma généalogie personnelle, la plupart de mes ancêtres juifs viennent d’Aix et de Marseille, mais je trouve aussi les Abram (ou Abraham) de Saint-Maximin, Venguessette du Pont originaire de Tarascon ou encore l’ancêtre le plus lointain (en lignée agnatique) des convertis Sauvecane, Vidon Cohen, qui se maria par contrat avec Léa de Sostal à Avignon.

La disparition des petites communautés juives, en milieu rural, est un élément intéressant pour nous, au XXIe siècle. En tout cas pour moi car on peut avoir des a priori sur les juifs qui vivaient presque exclusivement en milieu urbain : ces éléments sont probablement une des réponses à la question du « pourquoi ? ».

Dans les villes de Provence, au XIVe et au XVe siècles, les juifs étaient regroupés dans ce que l’on appelle des « juiveries ». Contrairement au ghetto, ces juiveries sont nées d’elles-mêmes et n’étaient pas closes.

Les juifs se regroupaient d’abord par nécessité et par choix. Il fallait habiter près de la synagogue, de la boucherie et de son réseau de clients, d’amis et bien sûr près de sa famille étendue. Pour ceux d’entre vous qui connaissent un peu Aix-en-Provence, les rues juives se trouvaient à l’emplacement actuel de la place des Cardeurs ainsi que les rue Venel et rue de la Verrerie (bien connue des étudiants !). C’est-à-dire dans l’hyper-centre de la ville. Au bout de la place des Cardeurs, quand vous avez à gauche la rue Venel et à droite la rue de la Verrerie, vous vous trouvez au niveau de l’ancienne synagogue.

Ce quartier, comme les autres, était ouvert et l’on trouve des chrétiens qui avait une habitation dans la juiverie tout comme on trouve des juifs qui avait des biens en dehors, même si cela restait limité.

Le pouvoir politique, par une série d’ordonnances, exigea que les juifs restent dans la juiverie. Cependant, il y a une différence entre ce que l’autorité politique demande et ce qu’il se passe en réalité. Le fait même qu’une série d’ordonnances, de rappels, existe au fil des décennies montre bien que cela n’était pas respecté !

Les juifs ne vivaient pas repliés sur eux-mêmes, ils commerçaient avec les chrétiens, ils étaient voisins avec les chrétiens. Il y avait le plus souvent de bons rapports de voisinage ; la population se souciait moins de faire respecter les ordonnances du souverain que de vivre sa vie. D’ailleurs les souverains, en Provence, ne pouvaient pas non plus être trop stricts envers les juifs car ces derniers servaient leurs intérêts.

Le pouvoir et les Juifs

L’historienne Danièle Iancu, dans son ouvrage de synthèse Être juif en Provence au temps du roi René donne une description particulièrement intéressante de la relation entre les juifs et l’autorité politique au XVe siècle autour de trois « composantes clefs », à savoir : dépendance, protection et ségrégation. « Ces collectivités juives étaient en effet dépendantes des autorités centrales qu’elles servaient et alimentaient de leurs deniers en échange de la garantie d’une protection accompagnée de tout l’appareil séparatiste dont le Moyen Âge avait su édifier l’armature » (p.33).

En effet, les juifs étaient assez bien protégés des débordements, notamment par la reconnaissance de leur citoyenneté. Ils étaient des sujets, comme les chrétiens, et pouvaient bénéficier des privilèges des villes comme les autres, mais avec des limites. Par exemple, ils ne pouvaient pas participer au gouvernement communal.

Une égalité quasi-complète donc avec, à côté de cela, un aspect communautaire lié à leur religion (les jugements sont rendus à part et dépendaient du prince et non des tribunaux locaux). Des édits et statuts garantissaient ainsi aux juifs la protection vis-à-vis de chrétiens « zélés », mais aussi leur permettaient d’exercer la médecine, d’avoir des commerces, de ne pas assister aux rites chrétiens. Dans les faits, ces décisions furent assez bien respectées, même si les juifs ont été exclus des corporations naissantes, souvent liées à une confrérie religieuse, au fur et à mesure que le système des « maîtres » se développait au XIVe puis au XVe siècle. Suite à des agressions (comme à Manosque) ou à des conversions forcées (j’y reviendrai), les souverains angevins dont le roi René, firent preuve de fermeté.

Quel intérêt avait le souverain à protéger les juifs ?

En tant que souverain chrétien, il ne pouvait tolérer une religion « dans l’erreur ». On ne peut pas appliquer nos cadres mentaux, notre tolérance actuelle, à celle du XVe siècle. Le souverain acceptait que les juifs vivent en Provence dans un certain cadre et il en tirait un grand bénéfice.

Tout d’abord, les juifs étaient soumis à un impôt supplémentaire : la tallia judeorum. Supplémentaire car il était payé en plus des autres, notamment des taxes communales (à l’exception de Manosque). Certaines taxes pourraient même nous paraître humiliantes envers les juifs. Les juifs de Salon devaient verser chaque année à l’archevêque d’Arles une somme d’argent pour entretenir la literie de son palais ; ils étaient aussi obligés de verser des étrennes pour Noël. A Marseille les juifs devaient, entre autres, donner de l’argent aux monastères, aux églises ainsi que faire des versements à Pâques et à la Chandeleur.

De son côté, la tallia judeorum (la taille pour les juifs), en 1446, s’élevait à 2475 florins pour les juifs du Comté de Provence (une maison modeste à Aix s’achetait dans les 100 florins). A cet impôt s’ajoutaient les prêts consentis au roi par les juifs les plus fortunés, les mêmes qui prêtaient à leur propre communauté pour payer la tallia judeorum. En 1473, par exemple, un conflit eut lieu entre Massip Abram de Draguignan et la communauté juive ; ce premier avait prêté de l’argent au roi René, 6000 florins, et celui-ci demanda alors à la communauté juive de défalquer cet argent des impôts dus par Massip Abram. Entre la tallia qui varie énormément chaque année, s’adaptant à la fois à la démographie juive, aux besoins du souverain, à l’organisation à l’intérieur de la communauté (les castra, petites villes, ont une somme à part d’Aix, Marseille ou Arles), et les autres taxes (communales, exceptionnelles), il est difficile de percevoir avec exactitude le poids fiscal.

D. Iancu, l’historienne qui me permet aujourd’hui d’écrire cet article grâce à ses travaux les plus récents nous dit même que :

« S’il est vrai que « la Provence fut une proie pour les appétits fiscaux du roi », les Juifs pour leur part payèrent un lourd tribut. « Nul n’en tira plus d’argent », que le roi René. » (p.114 du livre cité plus haut ; D. Iancu fait deux citations ici, la première de Noël Coulet et la seconde de Raoul Busquet, tous deux historiens bien connus de la Provence).

On sait que le roi René tira grand profit des communautés juives qui achetaient sa protection. En plus des diverses taxes et impôts cités plus haut, les comptes du roi René mentionnent d’autres rentrées d’argent. En 1476, les juifs de Provence paient 8000 florins dus au roi pour « lesditz menus plaisirs de cette année » et pour « son argenterie et autres menues despences » en deux parties égales (un paiement en 1476 et l’autre en 1477). Cette dernière année, les juifs doivent ajouter 1250 florins avant d’ajouter encore la même somme l’année suivante…

Nous avons vu que des religieux chrétiens ainsi que des monastères et églises prenaient aussi des taxes sur les juifs auxquelles s’ajoutaient des dispositions de ségrégation qui étaient atténuées en Provence par le pouvoir politique (en l’occurrence la famille d’Anjou). Si les juifs étaient obligés de porter un signe distinctif, un cercle rouge vif sur la tenue, il fut décidé qu’en Provence, ce rond serait réduit en taille et de n’importe quelle couleur tant qu’elle différait de celle de la tenue. Dans les faits aussi, nous l’avons vu, le regroupement des juifs en espace clos n’était pas vraiment respecté.

Malgré de bonnes ententes de voisinage, des événements tragiques frappèrent les communautés juives de Provence à plusieurs reprises.

Le pogrom d’Aix de 1430

A l’automne 1425, des juifs de Manosque sont massacrés et des chrétiens furent arrêtés pour être jugés. L’un d’eux (les autres furent libérés) fut conduit à Aix où il fut déclaré coupable et condamné à la pendaison. Ceci provoqua une révolte.
Il est à noter à quel point la situation est intéressante pour l’historien. Les juifs sont tolérés par les voisins jusqu’à un certain point, ils sont protégés par un souverain pour qui ils sont utiles, mais finalement, condamner à mort un chrétien pour avoir tué des juifs devient une situation intenable pour la population. Si les Aixois n’appelaient pas à tuer des juifs et ne le faisaient pas forcément d’eux-mêmes, un chrétien ne pouvait être condamné pour un tel crime entraînant de fait, plus qu’une impunité populaire, un soutien massif et un élément déclencheur de révolte.

Ainsi donc, lorsque bien après les faits la sentence fut prononcée, en janvier 1430, une émeute éclata à Aix. Des Aixois délivrèrent le coupable et attaquèrent le quartier juif qui fut saccagé et pillé. Une dizaine de juifs furent tués, une quinzaine furent convertis de force.

D’autres troubles émaillèrent la Provence du XVe siècle, même si le règne du roi René fut relativement épargné et que les juifs purent avoir de longues périodes sans attaques.

Des violences plus fréquentes en fin de siècle…

Malgré tout, attisés par les Ordres mendiants, notamment les Capucins, des chrétiens exaltés attaquèrent les juifs de Digne en mars 1475, suite aux prêches de la Semaine sainte où les juifs étaient visés comme « peuple déicide ». Les troubles se poursuivirent dans la cité les mois suivants avec notamment l’enlèvement d’une jeune fille juive qui fut convertie de force. Malgré les réprobations répétées du souverain, les habitants de Digne délivrèrent les émeutiers arrêtés. Les révoltes contre l’autorité publique ne sont pas un fait rare et l’historien Jean Nicolas, par exemple, les a étudiées pour l’époque moderne (son étude va de 1661 à la Révolution sur tout le territoire français).
Les conversions forcées, sur lesquelles je reviendrai lorsque je vous parlerai des conversions en général, avaient une conséquence problématique supplémentaire à celle de la violence : elles étaient irréversibles. Les juifs convertis de force devaient rester chrétiens.

Ces troubles se multiplièrent dans les années qui suivirent : accusation de meurtre rituel, d’empoisonnement. Si le roi René fit son possible pour conserver une paix sociale et y arriva dans une certaine mesure, sa mort (1480), ainsi que le bref règne de son successeur Charles III avant le rattachement de la Provence à la France (léguée par Charles III à sa mort en 1481), changea définitivement le sort des juifs de Provence.

Arles, où les franciscains encouragèrent les agissements contre les juifs, ne fut plus sûre lorsqu’en juin 1484 le quartier juif fut saccagé par des émeutiers chrétiens qui tuèrent plusieurs personnes. L’émeute se propagea à Tarascon et à Salon.

… avant l’expulsion définitive

En 1500, les juifs furent bannis de Provence par le roi de France ; bannissement renouvelé et définitif en 1501. Les juifs eurent le choix de se convertir ou de partir.

En histoire, on essaie de faire attention et éviter la téléologie (on sait par exemple que les juifs furent bannis en 1500 et on évite de projeter dans le XIVe ou le XVe siècle cet événement à venir). En évitant donc de penser le XVe siècle vis-à-vis du bannissement en Provence, on peut voir que des juifs dans les années 1480 et 1490 pressentirent un changement drastique, à la suite du rattachement à la France, déjà en cours par la multiplication des émeutes anti-juives. A ces émeutes s’ajoutèrent dans les années 1490 l’arrivée des juifs de la péninsule ibérique qui avaient été bannis ; la Provence n’a pas subi l’inquisition comme la vécurent les espagnols, notamment les convertis accusés de marranisme (pour simplifier : qui font semblant d’être convertis).

Avec l’arrivée de ces juifs d’Espagne, il y eut très certainement des craintes que la France fasse de même dans le nouvellement acquis comté de Provence afin de l’aligner sur le reste du royaume. On trouve même trace, grâce à l’historienne D. Iancu, d’une anticipation du bannissement.

En 1490, dans une des clauses d’un contrat de mariage, il est prévu le paiement pour évacuer le couple de Provence « si eux et les juifs de Provence avaient nécessité de partir. » Cette crainte fut assez forte pour qu’elle soit couchée sur papier dans un contrat de mariage.

Ainsi, entre 1481 et 1500, il y eut beaucoup de conversions, notamment dans la décennie 1490 et, bien sûr, suite au bannissement de 1500-1501.

C’est ainsi que mes ancêtres, Vidal Cohen et son épouse, se convertirent avec leurs enfants vers 1495 (devenant Sauveur Sauvecane et Honorade Sauvecane). Je descends de deux de leurs fils, le premier qui se convertit avec sa femme peu après ses parents et le second, converti à une date indéterminée, probablement au même moment et qui épousa en 1504 une nouvelle convertie nommée Françoise Louis. C’est la famille de cette dernière que j’ai davantage étudié pour l’instant grâce à diverses sources et travaux exceptionnels. Les parents de Françoise, Salomon de La Garde et Doucette de Carcassonne se convertirent en 1500 ou 1501 et firent donc partis de ceux qui attendirent le dernier moment pour franchir le cap.

Dans le prochain article sur le sujet, je discuterai avec vous des types de conversions que j’ai pu croiser puis de la généalogie de ces familles à travers (au moins) deux articles supplémentaires, l’un sur un médecin aixois converti au dernier moment, et l’autre sur une ancêtre juive dans le Marseille du XIVe siècle. Ces biographies permettront d’aborder la vie sociale et professionnelle ainsi que les unions matrimoniales. Un sacré programme !

Mardi prochain sur Sacrés Ancêtres! : Un curé parisien sous la Révolution… Inhumation de Louis XVI, renvoi devant le comité de Salut Public, menaces, démission, mariage blanc et disparition en province. Une vie mouvementée passée à la loupe et qui, depuis la biographie d’un individu, nous conduira à étudier « la grande Histoire ».

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